Modelisation 3D architecture | MachouPichou | Sous traitance à petit prix
On s’étonne et on nous pose souvent la question: “Mais pourquoi ce nom de Machou Picchu?” La réponse est simple. Lorsque, comme notre agence 3D, on prétend travailler dans l’univers de la construction, six siècles après son édification au cœur de la cordillère des Andes, quelle meilleure référence que ce site Inca pour inspirer confiance en matière de qualité de construction, de qualité d’aménagement et de qualité de projet d’architecture, de technique et d’art de la construction ?
Pour autant, bien sûr, les créateurs d’images 3D étoilés comme Machou Pichou, n’étaient pas encore très à la mode à cette époque. On manquait encore de clients. Disons qu’en ce temps-là, la réglementation et les normes d’urbanisme n’étaient pas tout à fait les mêmes. L’art de construire et l’art de l’aménagement des espaces pouvait s’exercer avec moins de contraintes. La livraison de leurs projets aux clients passait par moins d’étapes.
De nos jours, par exemple, faire un tel projet, au-delà de la contrainte technique, supposerait notamment, le passage obligé par le photo-montage.
Un photo-montage 3D est une technique très simple à définir puisque, comme une sorte de collage, elle consiste tout simplement à insérer sur des photos des bâtiments modélisés.
La plupart du temps, les insertions 3D feront partie des informations réclamées par les services d’urbanismes des mairies. Des informations qui leur permettront de faire une évaluation de la compatibilité d’un ouvrage avec les normes en vigueur. Et les architectes nous le disent tous les jours, devoir batailler avec les services d’urbanisme n’est ni une sinécure ni un cadeau.
La principale difficulté s’expliquant principalement par un cadre réglementaire souvent un peu flou. Ajoutez à cela un pouvoir discrétionnaire sine die s’exerçant avec beaucoup de fluctuations et de subjectivité et vous comprendrez qu’il soit assez difficile d’anticiper l’évaluation d’une mairie. Lorsque ce n’est pas ce mur qui sera trop bas, ce sera cet autre mur qui sera trop haut. Lorsque ce n’est pas ce revêtement mural qui contiendra une trop grande proportion de bois ce sera cet autre revêtement mural qui ne contiendra pas assez de bois. Lorsque ce n’est pas cet abri de jardin qui sera trop petit, ce sera cet autre abri de jardin qui sera trop grand. Lorsque ce n’est pas ce tableau ou ce panneau de publicités qui ne sera pas assez visible, ce sera ce tableau, ou ce panneau de publicités qui ne le sera pas assez.
L’avis des gens de la profession est quasiment unanime. Encore une fois, l’exercice du dépôt de permis de construire n’est pas un cadeau. Créez un projet qui, sur le papier, semblera respecter toutes les règles et ajoutez jusqu’aux précautions les plus extrêmes, l’évaluation des autorités administratives ne cessera jamais de surprendre et d’étonner. On entend souvent ce désarroi de la profession. Face à tant de tracasseries administratives, plus d’un architecte sera tenté de baisser les bras et de fermer boutique.
Bien sûr, il ne faut pas non plus trop noircir le tableau. Construire en France reste possible, évidemment, mais il n’empêche que les cadres administratifs et réglementaires sont de plus en plus complexes et tendent à faire monter les prix de la construction. Cliquez et vous verrez. N’importe quelle recherche sur Internet, sur le web, vous permettra de trouver de nombreux articles sur le sujet dont le texte en dira long. En effet, design ou pas, avant-gardiste ou pas, faire entrer des plans de construction ou d’aménagement dans le cadre légal sans contrevenir à aucun texte de loi ni à aucune disposition locale ou nationale et obtenir un avis favorable, relève du parcours du combattant. La moindre cabane de jardin, le moindre cabanon en bois, pourra faire l’objet d’une évaluation défavorable et d’une interdiction administrative. Les cas de décisions arbitraires pourraient faire l’objet d’un chapelet ou d’un diaporama sans fin. Un bien triste diaporama de mauvaise volonté qui pourra souvent paraître gratuite.
Mais, par voie de conséquence, et il faut bien le reconnaître, voilà aussi qui fait tourner notre boutique. Par cette situation kafkaïenne, la recherche à tout prix de l’évaluation de de l’avis favorable, pousse vers la production de plus en plus de réalisation d’images en collage ou en photo-montage. En permettant de visualiser un ouvrage à l’intérieur de son environnement, un photo-montage permettra en un seul coup d’œil d’apprécier les impacts visuels des édifices. Ainsi, la livraison et la mise à disposition de photos-montages feront toujours partie des informations importantes à fournir aux mairies.
Dans le cadre de dépôts de permis de construire on trouvera deux types de photo-montage. Un photo-montage pourra consister en la création d’une simple image volumétrique qui, comme son nom l’indique, permettra un appréciation des volumes de l’ édifice mais, pour plus d’efficacité un photo-montage pourra aussi consister en la création d’une image photo-réaliste plus propice à convaincre et à emporter l’adhésion.
Pour réaliser des photos-montages 3D dans l’immobilier, un architecte aura deux possibilités. Soit créer ce type d’image lui-même, soit passer par un service de sous-traitance tel que le propose notre agence Machou Pichou. Dans ce cadre, face à cette obligation, notre agence présente deux avantages majeurs. D’une part de par nos tarifs à petit prix (souvent 2 à 3 fois moins chers que les prix du marché) le coût d’un photomontage sera le plus souvent compris entre 199 et 249 € HT mais, en plus, de par notre expertise et notre maîtrise de cet art difficile qu’est la création d’images aux effets ultra-réalistes, nous produiront souvent des visuels plus réussis. Ajoutez à cela le gain de temps considérable permis à nos clients et vous comprendrez aisément l’intérêt qui existe à passer par les services d’agences comme la nôtre. En effet, qui est capable de produire des images avec animation vidéo, comme nous, pourra facilement procéder à la livraison d’insertion de bâtiments sur photos.
Testez sans payer
Aucun acompte sur votre première image