Modelisation 3D architecture | MachouPichou | Sous traitance à petit prix
Avant de prendre forme et de devenir réalité, tout édifice, toute construction, devra passer par la conception et l’élaboration d’un projet architectural composé lui-même de plusieurs phases, étape par étape. Viendra tout d’abord le besoin, puis l’idée de la solution envisagée pour répondre à ce besoin, le croquis, ou l’esquisse de cette idée, le plan 2D puis, enfin, l’image 3D qui viendra achever le travail de conception avant le dépôt de permis de construire puis… l’ouverture du chantier.
Un ouvrage architectural pourra répondre principalement à 3 besoins: héberger ou abriter des biens ou des personnes, protéger (que ce soit protéger du climat ou des intempéries autant que protéger des intrusions indésirables ou des regards indiscrets) et, enfin, embellir un espace de vie. Selon les projets, on pourra chercher à répondre à l’un des ces besoins seulement ou, au contraire, à ces trois besoins à la fois.
Une fois identifié le besoin, avant de se lancer dans la conception de plans techniques, il s’agira de montrer la solution envisagée. Grâce à la mise en forme par le dessin, chacun pourra s’assurer de la bonne compréhension par l’autre partie de ce qu’il a en tête. Ainsi soit le client pourra présenter son dessin à l’architecte soit l’architecte pourra proposer son dessin à son client pour qu’ensemble on puisse, soit valider, soit refuser un projet et expliquer les raisons de son choix. L’esquisse sera à la fois un outil d’illustration, d’inspiration et de validation. Tant pour un projet de construction intérieur que pour un projet de construction extérieur.
En fonction des choix d’architectures qui auront été décidés à la phase précédente, c’est-à-dire au moment de la mise en image par le dessin et par l’esquisse, on pourra (et il faudra) passer à la phase des plans d’architecte. Pour cela, les architectes disposeront de deux manières de procéder. Il y aura les architectes adeptes des techniques à l’ancienne consistant à tracer chaque ligne d’un plan à la main (des représentants de la génération d’hier, de moins en moins nombreux, restés fidèle à leur planche à dessiner), et il y aura les architectes acquis à la cause du format numérique qui ne pourront plus concevoir un plan sans l’assistance de logiciels tel que AutoCAD, ArchiCAD ou Allplan. Ce type de plan sera indispensable tant pour pouvoir déposer une demande de permis de construire auprès d’un service d’urbanisme que pour pouvoir lancer un chantier pour l’exécution des travaux
Mieux qu’un plan en 2D, au moment de présenter son projet à un client ou à un service d’urbanisme, l’idéal sera toujours la création d’une perspective 3D, c’est à dire d’une simulation ultra-réaliste qui permettra à chacun de visualiser chaque projet comme si celui-ci avait été pris en photo avec la représentation fidèle des couleurs et des textures de l’ensemble de ses matériaux. Bois, métal, verre, pierre, ardoise, céramique… quels que soient les matériaux utilisés, grâce aux logiciels de perspective 3D, les architectes pourront donner vie à leurs projets avec une précision devenue tout à fait spectaculaire, y compris pour les projets de déco d’intérieur les plus design. Et ceci pour toutes les pièces et chaque espace d’un intérieur. En fonction de l’ambiance envisagée, tant pour les programmes neufs que pour les programmes de rénovation, on adaptera tous les paramètres.
Pour la conception de ces documents graphiques qui viendront alimenter leurs planches de présentation de deux choses l’une, soit un architecte pourra réaliser ces images lui-même, soit il pourra sous traiter la production de ces documents graphiques. Sans être un homme de l’art, sans avoir nécessairement suivi de cours ou de formation, des logiciels tels que SketchUp, 3DS Max ou Allplan pourront permettre, d’une manière assez intuitive, de créer des images 3D. Pour le moins lorsqu’il s’agira de réaliser des travaux de volumétrie, l’entreprise ne sera pas si compliquée.
L’entreprise et les techniques, en revanche, se complique un peu lorsqu’il s’agit non plus, seulement, de représenter des volumes mais lorsqu’on a besoin d’illustration beaucoup plus fidèle à la réalité des projets tels qu’il seront après achèvement d’un chantier et après la fin des travaux. Si la prise en main de logiciels de modélisation ne nécessite pas forcément de cours ni de formation, en revanche, la maîtrise de logiciels de rendus tels que V-Ray ou Lumion s’avère beaucoup plus ardue. La complexité de leurs différents éléments fonctionnels dépasse de loin la simple création de documents PDF. Se mettre à la page sera une expérience assez longue et, de plus, sans une pratique quotidienne de ce travail, l’objectif du photo-réalisme sera difficilement atteignable. Pour une réduction du temps passé (et donc des coûts de production) des ces perspectives, le plus simple (et le plus judicieux) sera souvent de faire appel à un service de sous-traitance. Surtout pour lorsque la décoration en particulier ou l’esthétique en général occupera une place importante dans le résultat attendu. Il est clair que pour convaincre un client ou un service d’urbanisme, une planche de présentation enrichie d’une ou plusieurs vues 3D photo-réaliste aura toujours plus de poids et de pouvoir de conviction.
Dans le même esprit de la représentation 3D, on pourra également procéder à la création de maquettes mais, la création d’une maquette sera souvent beaucoup plus longue et, donc, beaucoup plus coûteuse, que la production de vues 3D, voire de visites virtuelles. Par rapport à une maquette, une vue 3D représentera toujours une réduction de coût importante.
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